3 bonnes raisons de passer vraiment au vélo électrique
Il y a de nombreuses recherches pour améliorer les vélos. Parmi les entreprises ayant fait des progrès considérables, il y a au moins trois sociétés qui veulent révolutionner le milieu des deux roues en Europe. Leurs créations vont de la bicyclette électrique pliable à celle sans batterie, les réalisations sont très belles et ont de solides atouts pour convaincre le public.
Le vélo électrique est mort : vivre le (re) nouveau numérique !
Les actions massives dans ce secteur partent toutes d’un triple constat : les vélos électriques sont chers, lourds et encombrants. Au moins trois marques tentent de révolutionner le secteur. L’un des modèles est de Bruxelles. L’idée de cette marque est de permettre au public de venir tester les vélos électriques et éventuellement de les acheter.
Pendant toute l’année 2019 le public va découvrir des vélos connectés. Il est par exemple possible de les éteindre à distance s’ils sont dérobés. Autre service proposé par l’application connectée à ce vélo : la possibilité de régler l’intensité des lumières, la dépense d’énergie de l’engin. Le fabricant belge a aussi pensé à rendre son vélo plus léger. Il ne pèse que 16kg et dispose d’une autonomie de 50 kilomètres. Cette bicyclette coûte environ 1 800 €. Il est possible de l’essayer en prenant un rendez-vous dans ua moins trois villes de Belgique : Bruxelles, Namur et Liège.
Un vélo pour les personnes déconnectées des nouvelles technologies
C’est le pari d’un autre fabricant belge qui vise lui les séniors. L’engin a pour but de leur faciliter la vie au maximum. Le vélo est excessivement léger : seulement 13 kilos. Une prouesse réussie grâce à l’usage d’aluminium. Autre force de ce second vélo : il est pliant. Cette caractéristique devrait séduire les possesseurs de mobile-home. Ce vélo coûte environ 1 200 €. Il est assemblé en Belgique ce qui est aussi un gage de qualité.
Vive l’électrique sans batterie !
C’est un vélo produit par une marque française. Ses concepteurs ont eu la bonne idée de ne pas le doter de batterie. Le deux-roues utilise un super-condensateur. Ce dernier convertit en électricité la force motrice du cycliste et l’énergie générée lors des descentes. Cette entreprise hexagonale va plus loin en clamant qu’elle produit des bicyclettes écologiques. Leur astuce est simple : ils remplacent l’utilisation de métaux rares par de l’aluminium et du carbone.
Les choix précédents ne sont pas qu’écologiques. D’abord, ils rendent le vélo plus léger (juste 16 kg). Ensuite, ils augmentent la durée de vie du super-condensateur (entre 10 à 15 ans). Enfin, ils facilitent considérablement le recyclage du vélo. Ce dernier ne contenant dès sa sortie d’usine aucune substance pouvant être nocive pour l’environnement.